•    Dans le manga, on voit des images de la ville, où les affiches publicitaires sont partout, notamment sur les immeubles...

      Dans le film on voit certaines lieux où les affiches publicitaires sont très visibles, colorées…

    Au Japon on peut voir des publicités sur les façades, les transports, les objets…

    Ces publicités peuvent êtres sur diverses marques, mais aussi pour promouvoir des artistes, des films, des séries, des singles, des concerts entre autres.

    Au Japon à l'extérieur on retrouve un grand nombre d’écrans diffusant des publicités, des clips, des bandes annonces…

    Que ce soit dans le métro, dans la ville, les citadins japonais vivent avec ses bruits publicitaires du matin au soir.

    Voici quelques exemples.

     

    A la sortie du métro: 

    Publicité visuelle et sonore très présente 

    Publicité visuelle et sonore très présente 

    (Publicité par un membre du groupe Arashi, Ohno Satoshi, pour des biscuits au chocolats de la marque Bake, de Morinaga). 

    Publicité visuelle et sonore très présente 

    (Publicité pour promouvoir la sortie d'un single d'un girlsband).

    Dans le métro:

    Publicité visuelle et sonore très présente 

    (Publicité japonaise pour Orangina). 

    Publicité visuelle et sonore très présente

     

      Dans plusieurs métros/trains il y a aussi des écrans donc on retrouve également les pubs télévisées:

    Publicité visuelle et sonore très présente

     

     

      Les villes où la publicité est la plus massive sont Osaka et Tokyo (Dans le manga il montrent Shibuya, un des grands quartiers publicitaires de Tokyo).

      Shibuya (on retrouve des publicités de toutes tailles, autant visuelles que sonores, que ce soit le jour, ou la nuit):

    Publicité visuelle et sonore très présente

    Publicité visuelle et sonore très présente

      Sur les publicités japonaises on retrouvent majoritairement des femmes (mannequins), des idoles et célébrités japonaises, des « grandes » chanteuses…

    Publicité visuelle et sonore très présente

    Publicité visuelle et sonore très présente

    (Deux membres, Aiba Masaki et Matsumoto Jun, du célèbre groupe de J-pop, Arashi, qui apparaissent dans les publicités pour le shampoing "Je l'aime").

    Publicité visuelle et sonore très présente

    Publicité visuelle et sonore très présente

    (Mizuhara Kiko, célèbre mannequin, actrice, apparaissant dans les pubs d'un séche-cheveux de la marque Panasonic, et pour des lunettes de la collection Disney crée par la marque Zoff)

      Les publicités japonaises ont aussi la particularité d’être originales, où l’émotion prime sur la rationalité.

    Publicité visuelle et sonore très présente

    Publicité visuelle et sonore très présente

    (Publicité pour les "Chocoballs" des bonbons au chocolat japonais).

    Publicité visuelle et sonore très présente

    (Célèbre humoriste japonaise qui apparaît dans une publicité pour des nouilles instantanées "Cup Noodle").

    Publicité visuelle et sonore très présente

    (Kanjani8, boysband japonais qui apparaît pour une publicité de Candy Crush).

    Publicité visuelle et sonore très présente

    (Kyary Pamyu Pamyu, chanteuse et mannequin japonaise qui apparaît dans une publicité pour des lunettes).

    « On l'a vu le Japon est un pays fascinant culturellement mais aussi publicitairement parlant. Utilisant des procédés qui lui sont propres, il arrive à se renouveler et à sortir des campagnes qui localement ont un impact suffisant mais qui internationalement peuvent surprendre par leur caractère décalé et amusant. » Le Japon et la Publicité


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    La hiérarchie au japon

      " Le modèle japonais de management des entreprises est caractérisé par une communication interne extrêmement intense. Celle-ci est fondée elle-même sur une forte culture d’entreprise, stimulée par diverses pratiques rituelles. L’énoncé de la philosophie de l’entreprise ou de sa mission, souvent en préambule d’un plan d’entreprise, constitue une autre pratique fédératrice permettant de favoriser « l’esprit maison ». Le fort esprit de groupe et l’intense communication interne permettent un processus de prise de décision à la base par ajustement mutuel informel et spontané, dit « coordination horizontale », qui, grâce à sa souplesse, se révèle plus performant que le modèle hiérarchique traditionnel, dans un environnement changeant. Divers moyens sont employés pour stimuler la communication interne et pour favoriser les échanges informels d’information. Parmi ces moyens, il faut aussi compter les systèmes de suggestions. Enfin, signalons que la publicité vis-à-vis des acheteurs potentiels, par exemple, est aussi un moyen de communication interne destiné à informer et motiver le personnel. Ce qui nous conduit à conclure qu’au Japon communication interne et communication externe sont étroitement imbriquées. " 

    (source : open édition, Communication interne et culture d’entreprise au japon, Renaud de Maricourt) 

     

      Dans le film : Okuda est malmené par son supérieur, et tous ses collègues, qui possèdent des CDI, se moquent de lui (marchant dans la tyrannie du patron). C’est une situation éprouvante pour le personnage et pour le spectateur. Comme on a pu le voir dans le texte ci dessus, « l’esprit maison » est fortement favorisé au Japon hiérarchiquement on est soit en au-dessus (ue) ou en-dessous (shita) de son prochain, jamais égaux au sens strict.

      En France on considère le travail en équipe comme une sorte de fratrie, où les employés peuvent être hiérarchiquement égaux (et où au sommet de la hiérarchie se trouve la direction puis les différents échelons décisionnels). Okuda est malmené à cause de son titre d’intérimaire, il ne présente pas la sûreté de rester dans la « maison » qu’est l’entreprise, et devient source de moquerie par les autres. Les salariés en CDD ou à temps partiel sont aujourd’hui 20 millions, ce qui représente presque 40% de la main-d’œuvre japonaise.

    Le travail rythmé en équipe, le chômage, la publicité visuelle et sonore très  présente.


    Okuda dit à son patron que la prochaine fois qu’il fait une erreur à ne pas hésiter à lui dire plus tôt afin qu’il le corrige, le patron s’énerve qu’un intérimaire lui donne des « ordres ». Il n’accepte aucun compromis ni d’écouter son intérimaire, cette situation va à l’encontre d’une ambiance conviviale, épanouissante…

    « Dans un organisme typiquement japonais, les travailleurs sans titre peuvent faire des suggestions et des propositions, qui sont ensuite transmises à d’autres sections et niveaux aux fins d’approbation. Les propositions écrites sont approuvées de palier en palier, jusqu’à l’échelon où se prend la décision finale.

    La décision prise est mise en place du haut vers le bas. En général, les entreprises au Japon suivent un processus de prise de décisions par consensus auquel les travailleurs participent à différents niveaux.

    Il n’y a pas de raison pour laquelle vous ne pouvez pas approcher votre supérieur immédiat pour savoir où en est l’une de vos suggestions, mais vous devez éviter de le court-circuiter et de vous adressez à un niveau supérieur au sien, sans le consulter auparavant. » (source affaires mondiales Canada, La hiérarchie et les prises de décisions au sein de l'entreprise)

     

    Le chômage

    Dans le film : Quand Okuda n’est plus intérimaire, il devient travailleur journalier (situation méconnu au Japon?), dans le film cela semble être un métier de dernier recourt, misérable, les chômeurs semblent aussi être à l'écart de la société.

    « Les chiffres les plus récents sur le chômage au Japon donnent un taux à 4,5% en février 2012 (contre 4,6% en janvier) soit 2,89 millions de chômeurs. La population au travail au Japon a chuté de 0,6% à 62,26 millions d'individus, pour 127 millions d'habitants. Il reste encore toutefois moins d'offres d'emploi que de demandes (ratio de 3/4).

    Le taux de chômage record, à 5,7%, avait été atteint pendant la récession de 2008-2009. Contrairement à ce qu'on peut entendre parfois, le 11 mars 2011 n'a pas eu d'impact en tout cas sur les statistiques du chômage au Japon (via).

    Il faut savoir qu'au Japon, il existe trois principaux types de contrats de travail :

    • 生社員 seishain qui correspond à un CDI

    • 嘱託社員 shokutakushain qui correspond à un CDD, le plus souvent d'un an

    • 労働者派遣事業 rôdôsha hakenjigyô qui correspond au travail temporaire (intérim), le plus souvent de trois à six mois

    On trouve également beaucoup de パート part ou アルバイト arubaito, dont les tâches et les durées de contrat varient énormément. Certains se sont même faits une spécialité d'enchaîner ces petits boulots : on les appelle les フリーターfreeters.

    Les Japonais se servent notamment de ces travailleurs intérimaires pour des postes auxquels le reste du monde n'aurait pas mis d'humain : panneau de circulation lors de travaux de voirie, femme ou homme-sandwich, etc. Il y a souvent beaucoup de personnel disponible, ce qui renforce cette image du Japon comme pays de service. » Source, extrait du site Kansai, Chômage et emploi au Japon

    Aujourd’hui les chômeurs représentent 3,1 % des travailleurs du pays du soleil levant.

    Les travailleurs journaliers ?

    Le ministère analyse ainsi leurs conditions de vie : « Parce qu’ils n’ont pas de travail, ils ne peuvent pas avoir de logement. Parce qu’ils n’ont pas de logement, ils ne peuvent pas avoir de travail. Nous devons demander aux organisation non-gouvernementales de les aider à trouver travail, logement et argent. »

    Source (Déclaration du 28 août 2007). 

    « Certaines grandes villes japonaises possèdent un quartier défavorisé, baptisé « doya-gai ». Le terme « doya », un mot du jargon des rues formé par l’inversion des syllabes du mot « yado » (hébergement), signifie logement à bas prix et désigne dans les faits un « bidonville » peuplé presque exclusivement d’hommes seuls. Les plus connus au Japon sont Kamagasaki à Osaka, San’ya à Tokyo et Kotobukichô à Yokohama.

    Les doya-gai sont le dernier recours pour les hommes en difficulté. Certains d’entre eux ont perdu leur emploi, d’autres sont seuls après un divorce, ont été expulsés de leur logement après de trop nombreux impayés ou n’ont nulle part où aller après un séjour en prison. Il reste alors à ces hommes la solution des doya-gai où ils peuvent louer une chambre à bas prix sans avoir à présenter une pièce d’identité, payer une caution, trouver un garant ou répondre à toute autre condition qu’ils auraient du mal à remplir. Autrefois, ils pouvaient également y trouver un peu de travail qui leur procurait suffisamment d’argent pour se nourrir et payer le prix de la chambre.

    Beaucoup de Japonais ignorent l’existence de ces quartiers et ceux qui les connaissent en ont une image de bas-fonds de la société. Certaines ballades engagées des années 60 comme « San’ya blues » d’Okabayashi Nobuyasu ou « Kamagasaki ninjô » de Mitsune Eiji les mettent à l’honneur. » Source (Extrait du site Nippon.com, Les sans-abris et les prestations sociales au Japon).


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  • Dans le film

    Okuda a travaillé trois ans en tant qu’intérimaire dans une boîte et n’y obtiendra jamais de CDI. Le patron le considère si peu, le rabaisse tant, qu’il va lui demander de faire une mission impossible (il avait comme tâche de modifier un travail qui normalement se fait sur plusieurs jour, en une journée, il avait jusqu'au lendemain pour le finir). Ce patron lui a fixé un objectif impossible, et le savait pertinemment. Okuda a travaillé d’arrache-pied une bonne partie du soir, et de la nuit. Il clignait des yeux pour se maintenir éveillé et concentré, mais il a finit par s’endormir devant son ordinateur. Okuda tombera peu de temps après malade et attrapera un ulcère de l’estomac, dans le film on voit qu’il vomit du sang au travail.

    Au Japon

    C’est une situation typique, le travail passe avant tout (la famille, le temps-libre). Il est bon de savoir que les heures supplémentaires passées au travail ne sont pas rémunérées...Dans le cas le plus extrême et qui est une maladie officialisé au Japon, mourir d’épuisement à cause du travail là bas s’appelle : le karôshi.

    Extrait du site internet de sciences et avenir sur le surmenage

    « Le surmenage tue, mais sans doute pas directement… »

    « La fatigue va engendrer des troubles métaboliques qui vont diminuer les défenses immunitaires (…) La privation de sommeil est en effet dangereuse en ce qu’elle peut faire monter et chuter la tension artérielle, rendre le cœur plus instable, introduire des variations glycémiques, modifications qui mettront en danger le sujet s’il est déjà vulnérable » 

    « Valérie Langevin, experte en assistance et conseil sur les risques psychosociologiques auprès de l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité): Le surmenage et le stress peuvent conduire à un épuisement physique fatal. Il y a même un terme pour cela : le karôshi ! » explique-t-elle. En effet, le karôshi (Karo signifiant "fatigue au travail" et shi "mort") est un terme japonais qui désigne le décès par excès de travail lié à un infarctus ou une hémorragie cérébrale chez les cadres de 25 à 40 ans. Ce syndrome est reconnu comme maladie professionnelle au Japon depuis 1970.

    Dans un entretien à "Pourquoi Docteur", le docteur Patrick Légeron, psychiatre et fondateur du cabinet Stimulus, explique que le stress entraîne une stimulation trop importantes et prolongée des glandes surrénales (qui produisent des hormones telles que l'adrénaline et le cortisol) peut provoquer l'arrêt de leur fonctionnement. Or, elles sont indispensables au bon fonctionnement du coeur... Un stress intense et prolongé peut, dans ce cas, être la cause directe de la mort. »

    Karôchi : en Europe correspond à la manifestation ultime du « burn out ».

    Source sciences et avenir: https://www.sciencesetavenir.fr/sante/mourir-d-epuisement-au-travail-c-est-possible_18884

     

    Conséquences du stress au travail

     

    Définition du stress au travail (trouvée sur le site de l’inrs.fr)

     

    « On parle de stress au travail quand une personne ressent un déséquilibre entre ce qu’on lui demande de faire dans le cadre professionnel et les ressources dont elle dispose pour y répondre. Les situations stressantes qui s’installent dans la durée ont toujours un coût pour la santé des individus qui les subissent. Elles ont également des répercussions négatives sur le fonctionnement des entreprises (turnover, journées de travail perdues, perte de qualité de la production, démotivation,…). La démarche de prévention collective consiste à réduire les sources de stress dans l'entreprise en agissant directement sur l'organisation, les conditions de travail, les relations sociales… »

    Effets psychologique du stress chronique

     

     

    Les charges de travail importantes qui causent du stress chez les employés

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Source: site web fondation april (site de santé)

     

    Les charges de travail importantes qui causent du stress chez les employés

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source: site web CEO (Coaches d'entreprises de l'Ouest)

     

     

     

     

     

     

      Le stress au travail n’est pas rare, des entreprises dans le monde entier en souffre (la France en outre, le Japon...). Ce stress peut être du à un supérieur trop exigeant ou arrogant, à des difficultés propres à l’entreprise...Les conséquences se font ressentir facilement chez les employés. On les jugera moins motivés, moins optimistes que dans une autre entreprise dite « saine ». Le stress, qui stimule les hormones, n’est pas un expert en efficacité, et les employés produisent souvent moins, ou en plus mauvaise qualité, par rapport à l’autre entreprise saine. En plus de ça le stress modifie l’ambiance dans l’entreprise, où il ne sera pas rare de voir des conflits, entre collègues et supérieurs, sur des désaccords ou autre...Cette ambiance et ce stress chronique chez les employés accentuent les risques de de maladies physique (cardiovasculaire etc) et psychologique (dépression, entre autres)


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  • Dans le manga il y a tout comme dans le film plusieurs éléments de la vie quotidienne japonaise, des objets, des coutumes, entre autres. 

    Ayamaru, l'acte de s'excuser en se baissant -> 

    Dans le manga 

    Dans le manga

    Dans la réalité:

    Dans le manga

    Shiba inu ->

    Dans le manga

    Dans le manga

    Dans la réalité:

    Dans le mangaDans le manga

    Dans le manga

    Shinkansen (train à grande vitesse) ->

    Dans le manga

    Dans la réalité:

    Dans le manga

    Shibuya -> 

    Dans le manga

    Dans la réalité:

    Dans le manga

    Gyoza: 

    Dans le manga 

    Dans la réalité:

    Dans le manga

    Ramen (Nouilles dans un bouillon soit au poisson, soit à la viande, soit aux champignons, soit au miso, soit à la sauce soja, soit au sel entre autres. Ils contiennent d'autres ingrédients qui sont très variés selon les différents sorte de ramen):

    Dans le manga 

    Dans la réalité: 

    Dans le manga

    Billets de 10.000 yen:

    Dans le manga

    Dans la réalité:

    Dans le manga

    Jonathan's restaurant:

    Dans le manga  

    Dans la réalité:

    Dans le manga

      

    Les marques:

     

    Asahi (Bière):

    Dans le manga 

    Dans la réalité:

    Dans le manga 

    Cup Noodle et Donbei Soba:

    Dans le manga

    Dans le manga

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Dans la réalité:

    Dans le manga

    Dans le manga


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  • Tout au long du film on peut remarquer toute sorte d’éléments de la vie quotidienne japonaise, des objets, des coutumes, entre autres. 

    Cybercafés japonais (Les cybercafés au Japon sont des espaces limités mais côte à côte, et dans chacun de ces box on a accès à Internet. On peut y passer plusieurs heures, même la nuit pour un prix pas du tout excessif. Cela fait que beaucoup de personnes qui ont peu de revenus ainsi que les touristes qui ne veulent pas dépenser dans les hôtels viennent souvent pour y passer la nuit): 

    Dans le film

     

     

     

     

     

     

    Dans le film

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ayamaru, l'acte de s'excuser en se baissant -> 

    Dans le film

    Dans le film

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Shibuya et autres quartiers (A Tokyo, il y a le carrefour de Shibuya, et d'autres quartiers proches où il y a beaucoup de publicité en toute forme, de manière auditive, avec les affiches, mouchoirs. Enfin, le soir c'est très lumineux):

    Dans le film

     

     

     

     

     

     

     

    Documents japonais ( CV..)

    Dans le film

    Daruma (porte-bonheur japonais)

    Dans le film

    La nourriture:

    - Sauce soja (shoyuu), les baguettes (hashi), les bols de riz

    Dans le film

    - Gyozas (sorte de raviolis): 

    Dans le film

     

     

     

     

     

     

    La table basse 

    Dans le film

    Le cuiseur de riz 

    Dans le film

    La théière 

    Dans le film

    Maison traditionnelle:

    - Porte coulissante (Shoji)

     Dans le film

    Randoseru (Sac d'école primaire japonais)

    Dans le film

     

       

     Dans le film


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